Je ne sais pas pour vous, mais la rentrée me provoque toujours deux sentiments bien particuliers : une sorte d’euphorie liée à la nouveauté, mais aussi une tristesse profonde de quitter un doux paradis estival.
Au programme :
- « Triste » de Carlos Jobim, extrait de l’album Amoroso (1977, Warner) –
- « Joie intense, Tristesse profonde » de Bonnie Banane, tiré de Nini (2024, Péché Mignon) –
- « The Sun of the Island » de Peter Von Poehl & Marie Modiano, tiré de Capri – Ballad of the Spirits (2024, Nest and Sound) –
- « Nostalgia in Time Square » de Charles Mingus, interprété par Pierre Marcus, extrait de Following the Right Way (2020, Jazz Family) –
- « Nostalgia » de Kadhja Bonet, tiré de Childqueen (2018) –
- « Look at the Sky » de Thee Oh Sees, tiré de Sorcs 80 (2024, Castle Face Records) –
- « Crossing the Equator » de Laurie Anderson ft. Anohni, tiré de Amelia (2024, Nonesuch Records) –
- « Flowers » de Jordan Rakei, tiré de The Loop (2024) –
- « Garden of Ispahan » de Louis Sclavis et Benjamin Moussay, tiré de Unfolding (2024, ECM Records) –
- « Don’t Get me Started » de The Smile, tiré de Cutouts (2024) –
- « La Ménetout, rondeau » de François Couperin, interprété par Mathilde Mugot, extrait de Le Salon de la rue du Hasard (2024) –
- « Longing for the Night » de Ghostpoet, tiré de Peanut Butter Blues and Melancholy Jam (2011) –
- « My Melancholy Baby » de Un Soir de Swing, tiré de Blooma –
- « Song of Lake » de Nick Cave and the Bad Seeds, tiré de Wild God (2024) –
- « The Breaks » de Suuns, tiré de The Breaks (2024) –
Crédit photo “melancholy” by lisa cee (Lisa Campeau) is licensed under CC BY 2.0.